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Week-end de rêve pour nos marcheurs nordiques dans les Pyrénées

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  • Le 02/09/2016

P107081415 marcheurs nordiques de notre club s'étaient inscrits pour participer à ce week-end du 26 au 28 août dans les Pyrénées dans la haute vallée du Couserans.

Tout le monde s'est retrouvé le vendredi soir "Chez Patricia", gîte perché au dessus de Oust et qui fait face au Mont Vallier. Après un bon repas concocté par nos logisticiens Henri et Suzanne, la soirée s'est terminée dans la joie avec un verre de champagne pour fêter l'anniversaire de Nathalie.

Le samedi matin, les bâtons s'impatientaient, les jambes se déliaient en réalisant le tour de Cabanatous, randonnée nous menant à près de 2000m et nous permettant de surplomber les étangs de Bassiès. Magnifique panorama et observation des vautours planant dans un ciel bleu azur au moment de la pause ravitaillement (cf photo ci-contre).

Le retour au point de départ était quand même ponctué d'événements : cheville foulée pour Babé, chasse à la vipère pour Michel.

L'après-midi était réservée à la détente et à la récupération ; ainsi, une partie de l'équipe est allée soigner son petit corps fatigué aux thermes d'Aulus.

Suffisant pour retrouver tout son allant et profiter de la fête d'Oust où nous étions attendus pour prendre le repas dans une bonne ambiance. Cela allait même sentir le chaud au moment où un feu d'artifice a mis le feu au podium sur lequel jouait l'orchestre. Heureusement, tout s'est bien terminé : une rallonge grillée et une mémé choquée.

Le dimanche matin, après quelques heures de sommeil en sucant son pouce, tout le monde scratchait de nouveau ses gantelets de bâtons pour se rendre à la cascade d'Ars. Somptueuse cascade à flanc de falaise que tous graviront. Mais personne n'étant rassasié, le groupe décidait de continuer la randonnée en parcourant une boucle de deux heures et demi dans les nuages. Féérique et apaisant.

Le week-end touchait à sa fin (et faim aussi) autour d'un dernier repas pantagruellique (il fallait finir les restes) et après un rangement collectif de toutes les affaires, chacun regagnait sa demeure le sourire aux lèvres et les jambes un peu lourdes.

Au moment des aux revoirs, la même question pointait : quand est-ce qu'on refait un week-end comme celui-là ? 

 
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